Voici quelques extraits du programme, pour vous donner envie d’aller en consulter l’intégralité..

« Ce que vous cache votre téléphone » : Votre téléphone portable est-il indiscret ? Cet atelier permet de mieux comprendre comment les applications Android collectent et partagent des données qui vous concernent, mais aussi de découvrir des pratiques et des outils qui peuvent améliorer la protection de votre intimité.

Partage de connexions sorcières-technoloco-émancipatrices : Des bidouilleuses, artistes et militantes se réunissent en collectif éphémère pour proposer un hackerspace ponctuel en mixité choisie sans hommes cisgenres (un homme cisgenre etst une personne assignée homme à la naissance et qui ne remet pas en cause cette assignation).
Dans la société, la parole des hommes cisgenres est sur-représentée dans de nombreuses sphères du quotidien, et tout particulièrement dans les sphères techniques et technologiques, au détriment de celle des femmes, des personnes trans/non-binaires, qui peine parfois à émerger. Il nous tient donc à cœur de proposer des espaces safe pour l’émergence d’une expression féministe.

Rompre en douceur avec Google. Pourquoi ? Comment ? Retour d’expérience sur un début de dégooglisation. Seront abordées les questions de vie privée et de données personnelles. Des alternatives existent ! Ce retour d’expérience est tout public, technique comme non-technique. Il présentera une façon de commencer sa dégooglisation, en expliquant les raisons et les alternatives choisies.

Comment passer du « partage du monde » au « monde du partage » ? Ciblé·e·s, surveillé·e·s, géré·e·s et conditionné⋅e⋅s, avons-nous encore les moyens de préserver un espace de liberté et de vie privée dans notre monde numérisé ? Comment pouvons-nous apprendre les un·e·s des autres pour échapper au contrôle social orchestré grâce au fichage, à la manipulation de nos données et de nos émotions ? Comment mettre en place des outils pour nous émanciper, nous mobiliser et faire communauté ? Comment passer du « partage du monde » au « monde du partage » ?

Tout le programme sur le site du festival