Ce lundi 4 novembre, des soutiens ce sont rassemblées, à l’appel du CARPES, devant Rennes Métropole à Clemenceau pour manifester leurs refus de l’expulsion de la famille d’Evelyne et de Samuel.
Ils étaient en effet logées à Montauban de Bretagne dans une petite chambre d’hôtel. Ils étaient deux adultes et cinq enfants, c’est l’arrivée de leurs sixièmes enfant qui à justifier pour la mairie l’expulsion de ce logement plus que précaire, en utilisant comme prétexte, comme toujours ironique, la promiscuité de l’endroit. Rappelons que les enfants sont tous scolarisées à Montauban de Bretagne et à Rennes pour les plus âgées, ce qui rend cette décision d’autant plus incompréhensible. Sans possibilité de logements derrière autre que la rue, Samuel et des soutiens sont venues à la mairie pour exiger une solution de relogement immédiat.
Une fois sur place, les soutiens ont investis les lieux et exigées de rencontrer la responsable de cette expulsion ( absente évidement ), deux employés de la mairie se sont donc occuper du cas de Samuel sous la menace d’un blocage du lieu.
On le rappelle la rue tue et c’est inacceptable que quiconque soit jeter dehors quel que soit la période de l’année, plus encore pendant la trêve hivernale, c’est un acte abjecte.
Une fois de plus pour une mairie qui ne cesse de promettre qu’aucun enfants ne dormira dehors sous son mandat c’est plutôt cynique.
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