👉 Nous attendons une réponse du tribunal dans les semaines à venir. Nous exigeons une suspension immédiate des travaux à la vue de l’urgence (dégats en cours, biodiversité importante menacée, illégalité des produits phytosanitaires utilisés), et ce jusqu’au jugement contre leur permis de construire.

🦎 Ne laissons pas l’urbanisation rampante grignoter ce qu’il reste d’un milieu vivant et historiquement paysan, aux profits d’un usage privatif et lucratif !
🌿 L’association La Nature En Ville a déposé les recours, qui pointent plusieurs anomalies :
1/ l’insuffisance de l’étude d’impact sur la biodiversité, et le risque trop important pour des espèces protégées au niveau national.
2/ l’insuffisance de l’étude d’impact sur le thème de l’eau. Nous contestons l’imperméabilisation des sols et l’usage de produits phytosanitaires dans une zone qui s’apparente a un bassin versant de la Vilaine (ruissellement).
3/ le centre d’entraînement est déjà en situtation irrégulière avant ces travaux, car se trouve initialement dans une zone naturelle avant un changement a posteriori des réglementations. Nous condamnons la persistance des élu·es à accorder des permis pour une situation d’abord illégale, avec des alternatives d’implantation (ex Barre Thomas-COOPER)

✊ Pour rappel, la lutte a déjà permis de préserver une grande parcelle de plusieurs hectares de la prédation de cette entreprise. Une ferme y est actuellement en cours d’installation.
· L’extension aujourd’hui combattue menace 3,5ha : une prairie, deux parcelles de jardins familiaux et ouvriers, une parcelle horticole (et 63 arbres sur l’ensemble du projet) seraient abbatues, pour y bâtir un terrain synthétique taille standard, un demi-terrain en herbe, un mini-terrain synthétique 5 joueurs contre 5, un parking privé de 80 places.
🔥 Les travaux en cours témoignent de l’impact irréversible de ces travaux, en terme d’artificialisation, d’imperméabilisation et de bilan carbone.
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