Kateb Yacine ouvre le livre avec ces mots : "Je sens que j’ai tellement de choses à dire qu’il vaut mieux que je ne sois pas trop cultivé. Il faut que je garde une espèce de barbarie. Il faut que je reste barbare."
Louisa Yousfi ajoute que "le sauvage précède la civilisation, tandis que le barbare vient du futur, il ne cesse d’arriver. Il est autant menace qu’espoir pour la civilisation dont il est en même temps le produit et une émanation lointaine de ses confins. Cela est lié à la condition postcoloniale, où le barbare parle la langue de l’Empire et maîtrise ses codes."
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