Ce jeudi 11 octobre, nous apprenons que pour l’institution judiciaire, les deux gendarmes de l’antenne du GIGN de Joué-lès-Tours mis en examen pour avoir, le jeudi 30 mars 2017 à Seur, abattu de cinq balles dans le torse notre proche Angelo Garand, n’auraient pas lieu d’être jugés.
Les réquisitions du procureur ont été suivies par une ordonnance de non-lieu en faveur des gendarmes, qui auraient donc tué Angelo en situation de légitime défense. Nous, parties civiles de la famille d’Angelo, dont plusieurs présents sur place aux moments des faits, allons faire appel de cette décision inadmissible. Depuis le début, nous contestons formellement la version mensongère des gendarmes, seule à avoir été prise en compte, au détriment de nos témoignages, et de nos observations suite aux réquisitions de non-lieu du parquet.
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Au printemps 2018, le collectif Lettres Communes avait réalisé un ciné-tract qui revient sur le combat mené par le collectif Justice et Vérité pour Angelo Garand, abattu par le GIGN le 30 mars 2017.
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