Le 6 février, deux séismes frappaient une zone de 100 576 km². Très vite, on parle dans les médias des populations syriennes et turques, victimes avec aujourd’hui plus de 56 000 décès à déplorer, des milliers de bâtiments détruits. Mais ce territoire dévasté, c’est avant tout le Kurdistan, où des années de colonisation ont empêché l’auto-détermination. Suite au séisme encore, les deux régimes, turcs et syriens, essayent de contrôler la distribution de l’aide alors même que leurs gouvernements négligents et corrompus sont responsables de l’ampleur qu’a pris le désastre. Malgré cela, malgré la répression, la solidarité s’est déployée et les partis, syndicats, associations culturelles et religieuses s’auto-organisent pour mettre en pratique ce que propose le mouvement kurde depuis plus de 40 ans : une société qui peut s’organiser en parallèle de l’État, parce qu’elle le fait pour elle-même et par elle-même.
Pour en témoigner, des membres du Centre démocratique kurde de Rennes et des Amitiés Kurdes de Bretagne (qui se sont rendus sur place en février à l’occasion d’une délégation d’urgence) seront parmi nous.
Buffet kurde
Témoignages des membres du centre démocratique kurde Amara et de la délégation des AKB partie sur place
Projection de photos
Table de presse et ressources pour aller plus loin
Concert de musique kurde
Toutes les recettes de la soirée seront reversées à l’association Roja Sor (partenaire du Croissant rouge kurde). https://rojasorfrance.com/
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