Selon des documents de la gendarmerie, des agents du renseignement étaient infiltrés dans la Free Party. La hiérarchie informée en temps réel qu’un jeune homme était sérieusement blessé à la main par une grenade n’a pas agi pour le secourir. Ces documents montrent aussi que des éléments du GIGN ont participé à la destruction du matériel de sonorisation.
