On arrive tôt le matin sur le site : un stade de foot en périphérie de Montceau-les-Mines. Ça bourdonne de partout, les organisateurs sont déjà dans le rush. À l’entrée, un curieux croisement entre un Master et un pick-up sert de barricade amovible devant l’entrée des artistes. L’organisation à l’air très (trop ?) carrée : des vigiles fouillent les sacs à l’entrée, regardent les pièces d’identité, vérifient que tout le monde a bien le bracelet de la bonne couleur, qui permet de différencier les personnes mandatées, les membres de l’organisation, les observatrices, et les journalistes. Ils patrouillent et surveillent les différents espaces, à savoir un grand gymnase, une dizaine de barnums, et le coin stands et cantines.
On arrive justement de Dijon avec une des trois équipes qui font la cuisine. On nous dirige au travers de la "rue des Gens qui ne sont Rien" pour aller installer nos affaire sous les barnums, au fond de la "place des Gaulois Réfractaires". Entres les buvettes, les stands de bouffes et les stands politiques, le secteur a des allures de petite fête de l’Huma des gilets jaunes.
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