C’est une histoire commune à beaucoup de militantes et de familles de militant·es kurdes que de séjourner au moins une fois en prison lorsqu’on vit en Turquie. Comment se passe la réintégration dans la société, pour les femmes engagées politiquement mais aussi celles qui ne le sont pas ; quelles sont les conditions d’incarcérations et l’accès aux soins ; comment s’est organisée la résistance ? Ces questions seront abordées à travers les témoignages de Mizgin Çiçek et Sara Aktaş,

Présentation d’une exposition sur des échanges épistolaires avec des prisonnières en Turquie.
Suivi d’un concert de la musicienne Sevda et d’un buffet kurdo/ breton pour la rupture du jeûne.

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