Les permanences de janvier
Les mardis et jeudis de 14h00 à 17h00 au Cridev
En janvier, les permanences sont ouvertes comme à l’habitude : les mardis et jeudis de 14h00 à 17h00, avec ou sans rendez-vous décembre, avec ou sans raisons !
>>> Hormis le jeudi 23 janvier 2025, où le Cridev sera exceptionnellement fermé
Les permanences du Cridev sont ouverts à toustes, et gratuites.
Le local du Cridev dispose d’une rampe d’accès, et de grandes toilettes avec barre d’appui.
Vendredi 17 janvier de 10h00 à 12h30 au Cridev
Ateliers Ressource Asso – faire sa demande de subvention FDVA 2
Pas toujours évident de s’y retrouver dans les subventions existantes pour financer les actions de son asso : qu’est-ce qui est financé ? qui finance ? sommes-nous dans les clous pour faire une demande ? à quoi ça engage ? et si on a pas fait ce qu’on a dit qu’on faisait…
En Bretagne, la campagne du FDVA 2 est ouverte depuis décembre et se clôt le 6 février 2025 à midi. Pour ne pas rester seul.e à faire sa demande avec toutes les questions que ça peut soulever, voici un atelier pour s’entraider à faire sa demande de subvention (présentation du dispositif, échanges sur les demandes de chaque asso, et accompagnement à la rédaction de sa demande.)
Sans réservation // plus d’infos : cridev.damien@gmail.com
Arpentage - « La Force des femmes » de Denis Mukwege
Mercredi 22 janvier de 14h00 à 18h00 au Cridev
Pas besoin d’avoir lu le livre pour venir, on découvre ensemble !
À l’est de la République Démocratique du Congo, dans la région du Kivu, la guerre gronde. Là-bas, les viols collectifs sont massivement utilisés en tant qu’arme de guerre. Pour terroriser les populations et provoquer leurs déplacements, en vue de s’accaparer le minerai.
C’est la logique d’un capitalisme extractiviste, qui est rendu possible par l’histoire coloniale du pays. Pourtant, ce conflit est largement silencié dans les médias mainstream, et reste méconnu dans les médias militants ou contre-culturels.
Pour pallier à cela à notre petite échelle, nous proposons de découvrir collectivement le livre du Dr Denis Mukwege. Il est le fondateur d’un hôpital en RDC, où il contribue depuis 1999, à soigner les stigmates causés par les violences faites aux femmes.
On va donc arpenter ce livre. C’est-à-dire qu’on va le diviser en plusieurs partie en fonction des chapitres et des thématiques. Chaque personne lira un fragment de l’ouvrage et ensuite, on en échangera par petits groupes afin de maintenir un cadre d’expression et de parole.
Causer d’éducation populaire : « au-delà de l’outillage : enfricher les pratiques éducatives »
Vendredi 24 janvier de 10h30 à 12h30 au Cridev
Cycle de causeries sur l’éducation populaire, pour interroger les pratiques sociales et éducatives.
Régulièrement de nouveaux outils et dispositifs apparaissent dans l’éducation populaire et dans les pratiques éducatives de manière plus générale, sans jamais trop savoir d’où ça surgit ni pourquoi… avec l’implicite que nous aurions des problèmes techniques pour lesquels nous manquerions d’outils.
En quoi cette tentation de l’outillage oriente et influe nos pratiques, voire nous empêche de penser autrement nos actions ? Et si l’outil n’était pas pratique, et que la pratique c’était bien plus que ça ?
Une matinée pour en discuter, à partir de la lecture collective de l’article « au-delà de l’outillage : enfricher les pratiques éducatives » de Damien Gouëry, avec la présence de son auteur.
Pour les personnes pour qui la lecture n’est pas un acte possible ou évident, possibilité de binôme de lecture à voix haute.
Chantier Joie et Imaginaire
Lundi 3 février à 18h30 au Cridev
Le chantier joie et imaginaire se réunit maintenant tous les premiers lundis de chaque mois, à partir de 18h30 ! On décide ensemble d’un thème, d’un exercice d’écriture/de collage, ou d’un sujet de discussion. Et on s’amuse ensemble avec tout ça !
Où en sont nos cogitations ?
Nos luttes sont en partie motivées par le désir d’un autre fonctionnement social, où ça se passerait mieux, voire bien. Imaginer une lutte d’ampleur ou révolutionnaire qui gagnerait nous parait lointain. Pourquoi ? Nos imaginaires se retrouvent bercés par des œuvres et analyses anxiogènes. Mais on peut se demander si elles ne seraient pas insuffisantes pour dépasser les inégalités du monde présent. Face à cela, on a actuellement un effet de mode autour des utopies. Elles sont souvent pensées comme l’alternative définitive, avec une grande injonction à la positivité… Comment dépasser cette binarité, et apporter une véritable ambiguïté dans nos récits ? Nous vous proposons donc de venir explorer ensemble une pluralité de récits et d’y rechercher quelque-chose de véritablement émancipateur.
Si tu as des questions, c’est par ici : cridev.jeremy@gmail.com
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