20h, présentation de la CNT puis projection et discussion autour du film « The Take », sur les réappropriations collectives d’entreprises dans la foulée de la crise Argentine de 2001. Ce sera la première projection d’un cycle consacré aux expériences d’autogestion à grande échelle (Pérou, Grèce, Kabylie, Rojava, Espagne, …) qui se déroulera sur l’année 2024.
Table de presse. Bar - vin chaud, galettes, chocolats chauds, etc., pour la campagne de soutien au Café de la Pente. Site du Café : https://www.lepotcommun.com/
Présence aussi d’un petit marché Do It Yourself.
La CNT-STM syndique des travailleurs et travailleuses de l’Enseignement, l’Animation, de l’Informatique, du secteur Agricole, du Bâtiment, des chômeurs et précaires, … .
Présente ces dernières années surtout sur Pontivy et Lorient, la CNT morbihannaise a connu un renouveau lors du dernier mouvement contre la « réforme » des retraites de Macron. Nous sommes présents principalement sur les pays de Lorient, Vannes et Rochefort-en-Terre.
Qui sommes nous ? Un syndicat horizontal, sans hiérarchie ni permanent syndical, un syndicat de lutte des classes. La CNT est une organisation syndicale et politique structurée selon des principes libertaires et autogestionnaires, impliquée dans la diversité des luttes politiques et du monde du travail.
Venez faire connaissance et discuter avec nous.
La présentation de la CNT-STM sera suivie de la projection du documentaire « The Take », d’Avi Lewis et Naomi Klein. Il raconte l’aventure de chômeur.euse.s d’une banlieue de Buenos Aires, en Argentine, qui décident de reprendre le contrôle de l’usine automobile où ils et elles ont travaillé, qui a été fermée en raison de la politique économique libérale du gouvernement de Carlos Menem, menée sous le contrôle du Fonds Monétaire International.
Cette expérience d’autogestion a eu lieu dans le contexte de la crise argentine de 2001 : influencé.e.s par le mouvement collectif de réappropriations d’entreprises qui s’est développé dans tout le pays, concernant quelques 10 000 travailleur.euse.s, eux et elles aussi décident d’occuper leur usine et de la transformer en coopérative autogérée fonctionnant sans patron. Leur slogan : « Occuper, résister, produire ».
A l’heure où la France connaît une inflation grimpante et que le capitalisme nous promet de nombreuses crises à venir, comment s’organiser et se défendre comme travailleur.euse.s ? Quelles perspectives de lutte et quel projet de société pour s’opposer au capitalisme et imaginer un autre futur ?
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