Un article du journal Ouest-France relate des incidents au moment du repas, qui se sont terminés sous les gaz lacrymo.
La raison mise en avant est l’augmentation des délais de rétention (jusqu’à 2 ou 3 mois contre une dizaine de jours en temps normal), liée aux mesures anti-COVID (diminution du nombre de vol pour les expulsions).
Au-delà de ces circonstances, c’est surtout toute la politique de gestion des exilé.es qui est en cause...
Frontex un mot valise pas anodin

Retours sur les actions de mai et juin dans le cadre de la campagne Abolish frontex
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