Un article du journal Ouest-France relate des incidents au moment du repas, qui se sont terminés sous les gaz lacrymo.
La raison mise en avant est l’augmentation des délais de rétention (jusqu’à 2 ou 3 mois contre une dizaine de jours en temps normal), liée aux mesures anti-COVID (diminution du nombre de vol pour les expulsions).
Au-delà de ces circonstances, c’est surtout toute la politique de gestion des exilé.es qui est en cause...
Surveillance policière : se protéger de son téléphone et de Whatsapp !
À la frontière franco-britannique comme ailleurs, de nombreux indices laissent penser que la police française surveille à distance le contenu des communications Whatsapp de nombreuses personnes, en particulier des gens qu’elle soupçonne de vouloir franchir la frontière clandestinement.
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