Un article du journal Ouest-France relate des incidents au moment du repas, qui se sont terminés sous les gaz lacrymo.
La raison mise en avant est l’augmentation des délais de rétention (jusqu’à 2 ou 3 mois contre une dizaine de jours en temps normal), liée aux mesures anti-COVID (diminution du nombre de vol pour les expulsions).
Au-delà de ces circonstances, c’est surtout toute la politique de gestion des exilé.es qui est en cause...
[Jour 15] Calais - Sous les pavés, la plage

La chronique des boulanger·es, le jour où iels ne font pas de pain à Calais.
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