L’État va peut-être se trouver une porte dérobée pour s’épargner une intervention sur la zad : son représentant le rapporteur public dans le procès en appel des recours environnementaux portés par le mouvement anti-aéroport, rejetés en première instance en 2015, devrait demander l’annulation de certains arrêtés préfectoraux autorisants les travaux.
Quel que soit le résultat du procès, il est clair que c’est d’abord la détermination du mouvement à résister sur le terrain qui a empêché l’aéroport d’être mis en service en 2017, comme le prévoyait le planning initial de ses promoteurs.
Pour réaffirmer cette détermination à ne pas laisser détruire le bocage et à faire vivre la fantastique expérience qu’est la zad, nous invitons à partager un verre ce jeudi à 18h30 au Vieux St-Étienne.
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