A partir de 19h :
- crêpes & galettes
- tournoi de palet
- brochures militantes
A partir de 20h30 Fest Noz avec : Zonj // Taouarh // Davay-Priol // Guilchou-Marius + ... 6€.
Depuis maintenant près de 3 mois, des millions de travailleurs.euses, précaires, étudiant.e.s et retraité.e.s luttent contre la retraite à 64 ans. Cette réforme ne se limite pas à reculer le départ à la retraite mais impose la mise au travail de la population.
Or, le pouvoir en place ne peut tolérer le développement d’un tel mouvement social qui se permet de bousculer l’ordre établi. Ainsi, dès les premières grèves et manifestations, la répression s’est abattue sur les militant.e.s et s’est intensifié suite au 49.3.
La répression d’un mouvement social peut prendre plusieurs formes : interdiction de manifester, contrôle judiciaire, pression sur les représentants syndicaux, chantage aux grévistes, blessures des manifestant.e.s, fichage des militant.e.s, multiplication des arrestations préventives et des poursuites judiciaires. Mais quel que soit le visage qu’il prenne, le système répressif a pour but d’écraser au maximum les militant.e.s pour les dissuader financièrement, psychologiquement et pénalement de se mobiliser.
Face à cette situation, la solidarité populaire est nécessaire pour ne pas abandonner les militant.e.s inculpé.e.s aux système répressif. En effet, l’organisation de la défense juridique des militant.e.s permet
bien souvent d’annuler les poursuites montées de toute pièce par des policiers distribuant les chefs d’inculpation de manière aléatoire.
Ainsi, une bonne défense permet aux inculpé.e.s d’obtenir des non lieux, la levée du contrôle judiciaire ou l’abandon total des charges.
Mais cette défense des militant.e.s a un coût, notamment pour payer les avocat.e.s pénalistes qui défendent les accusé.e.s au tribunal face au procureur et aux accusations des policiers. Il est indispensable de ne pas laisser ces militant.e.s seul.e.s face à la machine répressive et aux frais d’une procédure judiciaire.
Soyons un mouvement qui se défend : ensemble, mettons ce système répressif KO !
L’organisation politique Treger Disuj.
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