Le parquet affirme que« l’usage des armes par les forces de l’ordre s’est fait en riposte et s’est avéré nécessaire et proportionné. » De plus la victime s’est « volontairement emparée » de la grenade qui était « arrivée au sol ».
En résumé, les gendarmes ne supportaient pas la teuf et ont animés la fête à coup de lacrymos et de grenades assourdissantes et un participant a cru ramasser un champignon.

Cécile Coudriou, présidente d’Amnesty International France avait écrit quelques jours après la Free Party : "Il est inacceptable que des opérations de maintien de l’ordre, a fortiori pour disperser un simple rassemblement festif, conduisent, à des blessures allant jusqu’à la mutilation."
Compléments d'info à l'article
Proposer un complément d'info