Les permanences de février

Les mardis et jeudis de 14h00 à 17h00 au Cridev

En février, les permanences sont ouvertes comme à l’habitude : les mardis et jeudis de 14h à 17h, avec ou sans rendez-vous, avec ou sans raisons !

>>> Hormis le jeudi 13 février 2025 : pas de permanence.

Les permanences du Cridev sont ouverts à toustes, et gratuites.
Le local du Cridev dispose d’une rampe d’accès, et de grandes toilettes avec barre d’appui.

Sabotage de la St Valentin

Jeudi 13 février de 09h30 à 17h00 au Cridev

Le 13 février, à l’occasion du sabotage de la St Valentin, le CRIDEV propose une exploration collective et créative de l’amour queer à travers nos histoires personnelles et collectives. Nous irons dans un premier temps, percevoir la manière dont nos parcours sont façonnés, avant d’entrer dans une démarche créative qui célébrera la diversité de nos vécus.

12 personnes - sur inscriptions par mail : cridev.loulie@gmail.com

Déconstruisons les regards dominants des écrans, Démasquer le regard masculin (Male Gaze)

Lundi 24 février de 16h30 à 18h30 au Cridev

Male Gaze : représentation du corps féminin du point de vue d’un homme hétérosexuel cisgenre, dédié à un spectateur masculin, transformant la femme en un objet de désir.
Si le monde de cinéma est aujourd’hui pointé du doigt pour son manque d’inclusivité, ses rapports de pouvoir et son impunité quant aux auteurs de violences sexuelles, il est également critiqué pour sa diffusion de stéréotypes et de représentations sexistes et racistes aux écrans, son objectivation des femmes et son voyeurisme.

✨ Ce premier atelier sur le cinéma est motivé à s’armer contre le patriarcat de nos écrans en décryptant les différents outils employés pour filmer les femmes, en analysant collectivement les procédés mis en œuvre et en s’interrogeant de l’impact des images sur les représentations féminines.

Atelier ouvert à toustes // Nombre de places limitées à 8 personnes

📩 Inscriptions par mail : cridev.jeanne@gmail.com

🚪Local avec rampe d’accès, grandes toilettes avec barre d’appui.

Causer d’éducation populaire : « La responsabilisation des individus dans les pratiques sociales de lutte contre les discriminations »

Vendredi 28 février de 10h30 à 12h30 au Cridev

Cycle de causeries sur l’éducation populaire, pour interroger les pratiques sociales et éducatives.

Une causerie pour discuter des pratiques éducatives de lutte contre les discriminations en période libérale. Que cette lutte se réalise dans les établissements scolaires, dans les associations, ou ailleurs, quelles formes prend-t-elle ? Et quels enjeux de responsabilisation s’y joue, consciemment et inconsciemment. Autrement dit, quel poids aujourd’hui fait-on porter aux individus des discriminations qu’iels vivent, ou reproduisent ? Entre sur-responsabilisation et déresponsabilisation, ou placer le curseur ? Et qu’est-ce que la récente approche par les compétences psycho-sociales induit de fait ?

Nous discuterons de ces questions à partir de la lecture d’extraits d’une étude sociologique portant sur « la responsabilisation des individus dans les pratiques sociales de lutte contre les discriminations », en présence de son auteur Victor Chasseriaud.

Pour les personnes pour qui la lecture n’est pas un acte possible ou évident, possibilité de binôme de lecture à voix haute.

Chantier Joie et Imaginaire

Lundi 03 mars à 18h30 au Cridev

Le chantier joie et imaginaire se réunit maintenant tous les premiers lundis de chaque mois, à partir de 18h30 ! On décide ensemble d’un thème, d’un exercice d’écriture/de collage, ou d’un sujet de discussion. Et on s’amuse ensemble avec tout ça !

Où en sont nos cogitations ?

Nos luttes sont en partie motivées par le désir d’un autre fonctionnement social, où ça se passerait mieux, voire bien. Imaginer une lutte d’ampleur ou révolutionnaire qui gagnerait nous parait lointain. Pourquoi ? Nos imaginaires se retrouvent bercés par des œuvres et analyses anxiogènes. Mais on peut se demander si elles ne seraient pas insuffisantes pour dépasser les inégalités du monde présent. Face à cela, on a actuellement un effet de mode autour des utopies. Elles sont souvent pensées comme l’alternative définitive, avec une grande injonction à la positivité… Comment dépasser cette binarité, et apporter une véritable ambiguïté dans nos récits ? Nous vous proposons donc de venir explorer ensemble une pluralité de récits et d’y rechercher quelque-chose de véritablement émancipateur.

Si tu as des questions, c’est par ici : cridev.jeremy@gmail.com