Qu’en est-il de la situation politique après le grand séquestre mondial ?

La question de la technique/technologie est-elle celle de la domestication de l’espèce humaine ?

Comment formuler une critique de notre temps capable d’ouvrir une brèche dans la torpeur générale ?

Au travers d’une analyse du confinement comme procédé mondial de contrôle des populations et d’une réflexion sur la place et rôle de la technique, Olivier Cheval ouvre à une vision pessimiste du monde. Les lettres qu’il envoie à ses amis pendant le confinement et au travers desquelles il construit une machine de vision, ouvrent pourtant à la question de l’amitié comme « la seule brèche qu’il nous reste où encore s’engouffrer ».

Nous vous invitons à ne pas en rester là…