L’abandon de l’aéroport et la phase d’expulsion/négociation qui s’en est suivi ont marqué un tournant, voire une rupture, dans l’histoire de la zad. Il y a eu les déchirures au sein du mouvement ; il y a eu une marge de manoeuvre étroite pour ceux qui ont fait le choix de conserver l’usage d’une partie des terres : tout cela a rendu difficile de penser la nature de ce tournant, de cette rupture.
La maison de la grève propose une soirée de discussion pour s’y essayer, à partir de deux textes publiés récemment (Prise de terre(s) et Considérations sur la victoire (et ses conséquences)) et avec tout ceux qui se sentent d’une façon ou d’une autre héritier de la lutte à NDDL.
Il s’agira de revenir sur ce que la zad a signifié pour nous, sur ce qu’elle a incarné autant que bouleversé en matière d’aspirations révolutionnaires, sur ce qu’on y a appris et désappris, sur ce qu’elle révèle de nos failles et lacunes.
Il s’agira aussi de réfléchir aux raisons et implications du choix d’une part de la zad de ne pas disparaître : beaucoup de choses continuent à NDDL...
Voir l’invitation détaillée : https://maisondelagreve.org/spip.php?article129
Compléments d'info à l'article
Proposer un complément d'info