Alors oui, parler d’un « cap », c’est un peu une blague : le festival organisé par l’association Chahut ne change pas tant que ça : sur 3 jours, du jeudi au samedi, avec théâtre, conférence gesticulée, spectacles en caravanes et ateliers d’éducation populaire en fin d’après-midi / début de soirée et concerts la nuit.
Oui, le festival cherche depuis ses débuts à proposer une, des cultures, qui se rencontrent et s’entremêlent au politique. Des cultures que l’association et collectif souhaitent renforçante du pouvoir d’agir, par la pêche d’une musique, le charme de l’autogestion, la vibration de nos révoltes, la ténacité des volonté d’indépendance financière et matérielle qui anime les membres de Chahut et nombreuses des personnes qui apportent leur soutien d’une façon ou d’une autre. Bref, ce qui ne change pas c’est que la culture pour Chahut c’est politique et c’est aussi un médium à multiple facette pour en faire et s’y frotter !
Une porte d’entrée vers la Palestine avec Le Cri du Silence, ou la ZAD avec Ce qui m’est dû. Une première occasion pour certain(e)s d’interroger leurs privilèges avec une conférence gesticulée couplée d’un atelier jeu-discussion-débat. Une occasion aussi de manger bio, local et végétalien, et bon. Ou tout simplement l’occasion de « triper » dans un décor steampunk où l’on parle de piraterie, où l’on joue, où l’on voyage d’un univers artistique à un autre, à prix libre ! Enfin, faut-il préciser, prix libre, sauf les boissons alcoolisées (bières, vins, vin chaud)
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