Trois participants à « Nuit Debout Lannion » convoqués devant le tribunal d’instance de Guingamp, jeudi 17 novembre, à 9 h, pour non respect d’un arrêté municipal d’interdiction de rassemblement.

Trois participants à « Nuit Debout Lannion » convoqués devant le tribunal d’instance de Guingamp, jeudi 17 novembre, à 9 h, pour non respect d’un arrêté municipal d’interdiction de rassemblement.
L’assemblée de lutte interprofessionnelle de Nantes continue de se réunir, voici son dernier texte, pour la mise en place d’un réseau de convergence et de solidarité entre les luttes. À reprendre et diffuser largement.
Ce lundi 17 octobre avaient lieu les référés liberté au tribunal administratif concernant six des récentes interdictions de manifester à Rennes, qui sont en fait des interdictions de séjour dans le centre ville les jours de manifestation. Retour et résultat de ces recours.
La sortie d’une nouvelle circulaire du ministère contre les manifestants et les mouvements sociaux nous montre que plus que jamais, nous devons nous organiser contre la machine répressive.
Ceci est une invitation à discuter depuis cette question : que peuvent devenir les liens tissés entre collectifs, personnes, organisations à la suite du mouvement contre la loi « travaille ! » ? le 17 octobre à 18h30 à la Maison Internationale de Rennes
Un petit texte de réflexion au sujet de l’attaque de vitrines et des autres éléments caractérisant les casseurs selon le pouvoir.
En juin, l’apparition d’un fusil entre les mains des CRS inquiétait les manifestant·es contre la Loi Travail. Pour évaluer la menace, des membres du collectif Contrib avaient alors cherché son nom. Un article de Libération publié trois mois après reprend l’ensemble des infos publiées sur Rebellyon, sans lien ni citation, mais avec un gros oubli.
La Coordination des Intermittents et Précaires (CIP) de Bretagne organise une conférence avec Gérard Filoche sur un historique des luttes qui ont réussi et l’abrogation de la loi travail et son monde. La soirée aura lieu aux Ateliers du Vent - 59 rue Alexandre Duval, Rennes à 20H00, l’entrée est gratuite.
Ceci est une invitation à discuter,
le Mercredi 28 Septembre,
sur la tournure nouvelle que pourrait prendre
le mouvement en cours. À 18h, à la Maison de la Grève (37 rue Legraverend). Suivi d’une cantine pour prolonger la discussion.
Compte rendu de la manifestation du 15 septembre.
Petit récit de la 1re Assemblée Générale mouvementée !
Les dates de la rentrée à Rennes, mis à jour ce samedi 24 septembre
Cette semaine sera l’occasion de prendre le temps, hors de l’urgence d’un mouvement social, pour discuter, débattre et se construire avec toutes les compostantes du mouvement contre la loi "Travaille !" tou.tes les personnes, collectifs ou organisations qui souhaitent reprendre en main les questions politiques.
Ateliers, échanges et coups de mains spontanés sont les bienvenus !
Après la Mairie de Rennes et son offrande de 350.000 euros aux commerçants du centre-ville rennais, l’État vient d’annoncer le versement de 600.000 euros supplémentaires
Aurillac 2016, festival d’arts de rue, a été proclamé "Festival des luttes" par ses organisateur-ices. Pourtant, confronté à un dispositif sécuritaire aussi inutile que nuisible, des festivalier-ères font passez le mot : rendez-vous à 18h vendredi contre les fouilles et l’encagement du festival. Le mot tourne tellement fort dans la ville que les grilles s’en trouvent renversées...
Après deux fest-noz à Lannion et un fest-deiz en gare de Plouaret, « Nuit Debout Lannion » organise un bal populaire à Vieux-Marché (22), le jeudi 11 août, à partir de 18 h, sur la place du bourg.
Plaintes pour dégradation, diffamation publique et outrage à l’encontre de personnes dépositaires de l’autorité publique, menace d’interdiction des manifestations : le préfet des Côtes-d’Armor, Pierre Lambert, fait feu de tout bois pour museler « Nuit Debout Lannion ». Le prétexte ? Six œufs remplis de peinture effaçables lancés contre un mur de la sous-préf, lors d’un défilé carnavalesque organisé le 14 juillet sur le thème de la Révolution de 1793. L’Ankou y a eu raison des instigateurs de la loi Travail et le PS local y a vu une mise à mort de la démocratie.
Pour les personnes qui n’auraient pas remarqué, on est dans une période de mouvement social contre la loi travail. Je ne vais pas m’épancher sur le fait que cette loi est pourrie (y a-t-il vraiment beaucoup de gens pour la défendre ?) ni même sur la bouffée d’espoir que suscite un mouvement social un peu massif après des années de recul sociaux sans grande lutte.
Dans ce petit billet, je voudrais plutôt m’attarder sur une question qui revient régulièrement lorsqu’il y a une lutte (...)
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