Voici la traduction d’une des toutes dernières lettres publiques de Cesare Battisti. Il y parle de la prison, de sa réalité empirique, du contraste avec le "jeu" médiatique politicien qui l’instrumentalise toute honte bue, de l’aveuglement populaire qui lui laisse détourner une colère, pourtant légitime à l’origine, contre les pauvres ères qu’il agite sous son nez afin de récolter ses voix.
