Des directives préfectorales ont annoncé une réduction du nombre de nuitées hôtelières d’urgence. Aujourd’hui, c’est un manque de plus de 200 places à l’échelle du département.
Nous réclamons pour les victimes de violence le droit fondamental à être protégées, et à protéger leur·s enfant·s victimes ou témoins.
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